dimanche 8 mars 2009

Expériences culinaires around the world...

A mon jeune âge (^^) j'ai déjà beaucoup voyagé et j'ai aujourd'hui repensé aux expériences que j'ai pu faire dans les divers pays que j'ai traversés, la plupart du temps avec mon paternel... Gourmets que nous sommes, une grosse partie de ces expériences a été culinaire. Oui, culinaire... J'avouerais qu'en Ecosse, bien manger, c'est avoir énormément d'espoir. Et on n'a même pas testé le haggis, qui paraît-il n'est pas si immonde qu'on le dit... Mais même en Ecosse on peut trouver des délices : dans un petit village de pêcheurs dans le coin de Torridon, nous avons découvert au hasard de nos errances la maison d'un pêcheur qui venait de fumer son saumon et qui en avait de beaux morceaux. Je n'ai jamais mangé d'aussi bon saumon de ma vie *o* Il était très en retrait par rapport au village lui-même, ç'a été une aubaine.

En Ecosse, on trouve aussi le "boeuf Angus", mais on n'a pas eu l'occasion d'en manger. L'autre délice que nous avons découvert, ce sont de petits gâteaux sablés, les shortbreads (à manger au thé ^^). Les plus connus sont ceux de la marque Walkers et c'est délicieux. Dernière découverte gustative en Ecosse, lors de la visite de la distillerie Talisker, le whisky Talisker, avec un léger goût de tourbe... et pour cause, ils utilisent de la tourbe pour fabriquer leur whisky ! Le procédé lui-même est des plus intéressants, mais le whisky est encore ce qu'il y a de mieux *o*

Même en Angleterre on peut bien manger des fois, dans la famille d'accueil où je me trouvais, on a goûté le ragoût de saucisse - délicieux - et une espèce de tourte à la viande absolument remarquable. Avec ma mère j'ai pu découvrir les joies du breakfast à l'anglaise et des pubs, avec les puddings (je n'aime PAS le pudding XD)... mais ça vaut la peine d'essayer la gastronomie anglaise, vraiment, en s'éloignant des préjugés.

D'autres surprises nous ont attendus en Slovénie, sur une aire d'autoroute (si, si !). Loin des immondes Autogrill français, nous sommes arrivés dans un self-service avec légumes à volonté, notamment des galettes de pommes de terre absolument sublimes. Il y avait également une soupe surprenante, la soupe vampire, avec de la tomate et des tripes (et je fais partie de ces rares gens bizarres qui aiment les tripes...). La Slovénie en elle-même est un pays magnifique où nous prévoyons de retourner dans un prochain voyage...

Par la suite, en Serbie, découverte du "monténégro steak". 800gr. Tout seul. Un gros "steak" avec une montagne de sauce... et curieusement c'était pas mauvais. Enfin, c'est pas vraiment là qu'on a le mieux mangé ^^' Idem, en Roumanie, très difficile de bien manger... déjà, il faut aimer la polenta, parce que c'est leur équivalent des frites, manifestement. Durant tout le voyage, il n'y a guère que deux fois où nous nous sommes régalés : la première fois, à Brasov, dans un restaurant appelé le Sergiana, avec un "pastrami de mouton" des plus délicieux, je ne sais absolument pas comment ils cuisinent ça. La deuxième fois, à Suceava, dans une pension : l'hôte nous avait, le premier soir, concocté un poivron farci du feu de Dieu, et ce malgré mon horreur du poivron *o* C'était absolument splendide. La pension était dans une ferme, en fait, et tous les produits ou presque venaient d'à côté - du coup le matin on a eu du lait tout droit sorti du pis de la vache, j'ai bu la carafe entière dans mon bonheur enfantin. Et puis il y a eu la cuisse de poule avec les pommes de terre, aussi *o*... Ah... *souvenirs*

En Italie aussi, on a découvert quelques délices. Des antipasti à Vérone, merveilleux, avec des champignons poêlés, et tout, et tout... miam ! Curieusement, je ne suis pas fan des pizza italiennes, mais j'adore leurs pâtes. Et les oranges sanguines de Sorrente me feront toujours rêver, comme le vin du Vésuve. En parlant d'alcool, je ne vous conseille pas le limoncello italien qui a vraiment un goût immonde de rince-doigt. Et si par le plus grand des hasards il vous arrive d'aller à Venise, non loin du Rialto, dans une ruelle adjacente, se trouve une épicerie traditionnelle où j'ai acheté d'énormes sachets de pâtes et des tomates séchées - un régal.

Et puis, comme je le disais dans mon dernier article... Barcelone ^^

Et la France, bien entendu, a elle aussi son lot de bonnes choses gastronomiques... le Genty Magre à Toulouse, pour n'en citer qu'un *o*


Bref, savourez ce que vous mangez, et plutôt que d'aller dans un fast-food, cherchez à découvrir le monde autour de vous.

samedi 3 janvier 2009

Barcelona

Les vacances de Noël touchent à leur fin (oui, déjà, je sais >.<) et... j'ai pas fini mes devoirs. Il faut dire que la semaine à Barcelone, les copains, le réveillon et tout le tintouin n'ont pas aidé à ce que je m'avance... Il me reste toute ma svt à faire. Je hais la svt.

Barcelone c'était assez merveilleux, mais ... grand. Se faire tout le parc Guëll à pieds (15 hectares) puis traverser tout le centre en tentant d'aller à la Sagrada Familia, c'est un peu usant^^" Mais c'étaient de bien belles visites qui valaient franchement le coup. J'y retournerai très volontiers. En plus, à Barcelone, on mange vachement bien... le rituel espagnol, c'est tapas à 18h et dîner à 21h. Gros coups de coeur pour les patatas bravas et le beignet de homard... et tout plein d'autres bonnes choses. On a choisi l'option "on ne déjeune pas le midi" histoire de ne pas finir bibendums^^"... (je le suis déjà, cela dit XD). Bref, si je puis vous conseiller quelques adresses à Barcelone, si vous avez l'occasion d'y aller un jour : pour les tapas, allez chez El Portalon, dans la Carrer de Banys Nous (je crois, ou c'est celle d'Avinyo... de toute manière il est répertorié dans le guide du routard). Ils font des tapas succulents et des sandwichs à se taper le derrière par terre, notamment celui intitulé "lomo-queso", avec du porc mariné et du fromage... oui moi aussi j'ai fait "beuh" au début... mais c'est ultra bon. Pour les restaurants, le Can Culleretes (je ne me souviens pas de sa rue, par contre) est un petit bijou, il faut y arriver dix minutes avant l'ouverture à 20h30 pour avoir une place, la cuisine est délicieuse, le cadre agréable et le service très rapide. Mais le must, c'est ce restaurant sur Barceloneta dont le nom m'échappe (j'éditerai quand ça me reviendra)... je n'ai JAMAIS aussi bien mangé de ma vie, et dieu sait que j'ai eu de très bonnes expériences culinaires. Leurs petits poulpes sont un régal et ils ont des crevettes grosses comme ma main. Si vous allez dans un bar, demandez du lait dans votre chocolat, aussi^^"... Et évitez à tous prix les restaurants et bars de la Rambla, ce sont des arnaques. Au niveau des monuments, la ville a deux points forts : les oeuvres du modernisme et celles de l'art gothique. Gaudi a sévi à Barcelone, notamment avec le Parc Guëll, très beau, très coloré, avec la "maison de Gaudi" dont l'extérieur est très classique, mais dont l'intérieur vaut vraiment le détour. En redescendant vers la Place de Catalogne, on trouve la Casa Milla ou Pedrera, absolument superbe, et la Casa Batllo, très cher pour ce que c'est. Peu de salles étaient ouvertes à la visite, c'est fort dommage. Evidemment, l'oeuvre majeure de Gaudi représentée à Barcelone est la Sagrada Familia, un temple dont la construction monumentale n'est pas encore achevée à ce jour, une pure merveille. Aller dans les étages n'est pas très cher et vaut vraiment le coup d'oeil, attention cependant au vertige^^".... *a failli hurler*

Le Barri Gothic vaut également le détour, avec sa cathédrale et ses églises au style incroyable. Le mieux étant d'errer dans les petites rues semi-piétonnes du centre pour découvrir au hasard de ses errances des maisons et des bâtiments magnifiques (nous avons par exemple rencontré une vieille herboristerie aménagée à l'ancienne !...)

La colline de Montjuïc vaut également le coup d'oeil pour le point de vue qu'elle offre sur Barcelone, et pour ses divers jardins (que nous n'avons pas visité, vive la pluie /O/...), son Sacré-Coeur, son palais qui abrite le Musée National d'Art de Catalogne. Les musées sont nombreux à Barcelone et pour les amateurs, c'est une perle : on trouve un Musée de l'Histoire de Barcelone qui offre une visite des ruines romaines sur lesquelles a été bâtie la ville, entre autres. Quant au Musée National d'Art de Catalogne, il héberge une grande quantité d'oeuvres de tous les siècles et vaut sincèrement le coup d'oeil.

J'aurais pour ma part aimé aller au Cosmo Caixa, le musée de la science de Barcelone, mais il était fermé^^'...

Au niveau de l'accès internet, il y en a un sur la Rambla appelé "New Park", le tarif est décent (1h pour 2€, je crois) et un autre près de la place de Catalogne, dans la ... deuxième rue à gauche quand vous arrivez d'Avinyo XD, mais les tarifs sont moins intéressants.

Au niveau hébergement, il y a un très grand nombre de pensions et d'hôtels pas très chers ; le nôtre était situé Carrer de Avinyo et malgré l'eau de la douche assez froide, les services étaient très corrects.

Bref un très beau voyage que je compte refaire^^'...

mercredi 17 décembre 2008

Trois p'tits tours et puis s'en vont

Tiens, ça fait longtemps que je n'avais pas mis cette chose à jour. Croyez bien que je me force : je n'ai rien à dire et je déteste parler pour ne rien dire. Mais soit, je vais me plier à cet exercice qui pour moi est un tour de force.
Je souffre actuellement d'une maladie qui s'appelle la maladie du jamais-content. Jamais contente de ce que je fais, je recommence encore et encore avec l'espoir (illusoire) d'atteindre la perfection. Bien entendu, la perfection, ça n'existe pas - et c'est très prétentieux de croire pouvoir y accéder un jour. Bref, j'ai réécrit quatre fois le premier chapitre de mon tout nouveau roman avant d'être contente de ce que j'ai fait... enfin, presque contente...
Les seules choses dont je sois fière, c'est ma cuisine et mes pages HTML. Dans une vie bien remplie, c'est un peu pas beaucoup... Je me posais donc une question. Est-ce que ce genre d'énormes complexe ne viendrait pas de la pression de la société (faut pas être prétentieux c'est maaaal) ? Ou... ou de la pression personnelle qu'on s'impose face à la société ? (si je dis que j'aime ce que je fais on va dire que je suis un gros prétentieux mais c'est pas vrai ah mon dieu je dois être faussement modeste)... Ou simplement qu'après avoir atteint un certain niveau on ne se trouve jamais assez bon ? Je ne sais pas. J'ai l'impression d'écrire du vent. Il n'y a rien. C'est mauvais. C'est fade. Insipide. Bon à jeter. C'est de la machine stylistique, rien d'autre.
Et encore, ça c'est pour ce que j'écris en ce moment. Je ne vous raconte pas le drame avec les vieux écrits XD

Tout ça pour dire que... que... que...
... Pour ne rien dire en fait ô_o Vous raconter mes problèmes existentiels concernant mon écriture. Voilà qui n'a rien de bien captivant, hein. Je me suis promis de mettre ce blog à jour, je le fais, voilà tout xD
J'ai bien envie d'ouvrir une rubrique Japonaiseries sur ce blog... avec mes manga favoris et mes animés préférés...

... Sur ce, je retourne jouer à Castlevania, à vous les studios u_u

PS : me suis offert un bâton de feu (50€, pan dans tes dents), que je voulais offrir à mon ex avant de me dire que c'était quand même dommage de pas le garder pour moi. Je suis un monstre d'égoïsme.
Et le pire c'est que j'assume à mort.

jeudi 27 novembre 2008

Quel supervilain êtes-vous ?

Your results:
You are The Joker


































The Joker
84%
Apocalypse
82%
Dark Phoenix
77%
Magneto
76%
Venom
69%
Dr. Doom
67%
Green Goblin
67%
Poison Ivy
66%
Mystique
63%
Mr. Freeze
60%
Two-Face
55%
Lex Luthor
49%
Riddler
49%
Catwoman
44%
Kingpin
44%
Juggernaut
43%
The Clown Prince of Crime. You are a brilliant mastermind but are criminally insane. You love to joke around while accomplishing the task at hand.


Click here to take the Supervillain Personality Quiz

samedi 8 novembre 2008

\o/

Secrets de Famille est le forum qui rend fou.
J'ai les cheveux rouges, maintenant. Mais ça se voit pas.
Tant pis, je recommencerai jusqu'à ce que je sois satisfaite /o/

vendredi 7 novembre 2008

V pour Vendetta


V pour Vendetta

Avec : Natalie Portman (Evey), Hugo Weaving (V), Stephen Rea (Finch).

Ce film a été peu apprécié lors de sa sortie en 2006 par les critiques qui lui ont fait un accueil déplorable : scénario vu et revu, mise en scène lamentable, message peu clair, tout a été dit. Et pourtant... et pourtant ce film reste pour moi l'un des petits bijoux du cinéma, un de ceux qui clouent le spectateur à sa chaise et le laisse sans voix.

Dans une Angleterre dominée par un régime totalitaire, Evey Hammond - une jeune femme parfaitement ordinaire - rencontre V, un mystérieux "justicier masqué" qui la sauve d'un viol. Dès lors les évènements s'enchaînent et mèneront la jeune femme à prendre part à la chute du régime qui maintient le pays sous son joug.

La première force de ce film réside dans sa scène finale, audacieuse et pleine de force, où l'on retrouve beaucoup de personnages marquants du film, morts parfois au cours du scénario. Beaucoup d'émotion, un message impressionnant : le tout fait frémir. Derrière V et ses idées révolutionnaires se cache n'importe quel quidam, n'importe qui, et c'est cela que le film veut faire passer : l'idée que chacun peut changer le monde s'il en a l'envie, le désir profond, s'il se donne les moyens d'y arriver.

Certains voient en V pour Vendetta une apologie du terrorisme, pour ma part j'y lirais plus volontiers une libération violente d'un joug qui l'a été tout autant. Pas un message nihiliste, plutôt celui d'un combat qu'il faut mener jusqu'à son terme, d'une nécessité parfois de cesser la passivité. Cependant, la première faiblesse du film réside dans le message qu'il transmet, un peu trop flou pour être parfaitement saisi par tous et surtout correctement interprété. De fait, chacun ne peut qu'émettre une hypothèse sur ce qu'il a ressenti, sur ce qu'il pense être le fond philosophique du film. Bien sûr, ce manque de clarté amène à se poser des questions, mais celles-ci ne trouvent pas (ou peu) de réponses.

V pour Vendetta est le récit d'un totalitarisme réaliste qui utilise l'humanité comme un laboratoire, qui rejette toute différence et choisit de diviser pour mieux régner : un scénario effectivement déjà vu et revu qui pourtant ne manque pas de vigueur grâce à la personnalité même de V. Rêveur, violent, anarchiste, extrêmiste, il utilise le prétexte d'un régime à détruire pour assouvir sa vendetta personnelle et refuse de faire partie du nouveau monde qu'il aura créé. Car il n'a pas sa place dans un monde libre et égalitaire où il n'a plus aucun but, plus rien à détruire, plus aucune raison de vivre. V est un personnage incroyablement fort joué à merveille par Hugo Weaving (Elrond dans le SDA, Mr Smith dans Matrix) qui, malgré son masque, réussit à faire passer un maximum d'émotion rien qu'en modulant sa voix et en utilisant une gestuelle réfléchie. On croirait voir le masque changer d'expression.

Natalie Portman est plutôt convaincante, même si sa prestation reste un cran en-dessous de celle de Weaving, elle reste aboutie et son personnage donne sans mal la réplique à V. La force de Portman réside dans son regard qui se fait extrêmement déterminé lorsqu'il le faut, accrocheur, bref une belle représentation du personnage d'Evey.

Au-delà du message, du scénario, de la réalisation, des acteurs, de la beauté graphique (une subtile alliance de noir, blanc et rouge, mon combo favori) bref de tous les détails techniques, il y a l'émotion. L'Emotion, même, que transmet le film : d'une violence rare (qui n'est pas sans évoquer la suggestion de Cabaret), terriblement poignante... On adhère ou pas, pour ma part je suis restée émue sur mon fauteuil pendant plusieurs longues secondes, scotchée. V pour Vendetta est un film intense se situant bien au-delà du juste milieu, l'effet qu'il produit également...

mercredi 5 novembre 2008

Une vie sociale O.O

Hier, j'ai pris mon courage à deux mains et j'ai essayé d'avoir une vie sociale. Oui, j'ai joué à ce grand MMORPG super bien réalisé qu'on appelle IRL et curieusement ça m'a bien plu (je préfère les RPG forum ou, à défaut, les jeux en solo, c'est plus drôle à mon goût). Bref, pour les non-geek qui me liraient, j'ai mis la tête hors de mon antre pour aller voir des GENS avec pour arme, un narguilé (charisme +12, tabac et charbon bonus +2).

Un repas de classe donc devant s'étaler sur toute l'après-midi, la soirée et pour certains la nuit. Un bon déjeuner bien sympa à parler avec des gens intéressants, des heures à jouer aux cartes et à se battre contre la chicha, une bonne après-midi en somme - et moins éprouvante pour mon asociabilité latente que je ne le craignais, en plus, je n'ai arraché la gorge de personne et j'ai même réussi à parler, c'est fort. Vaincre sa timidité \o/

Ceci dit, 24 heures après, je pue toujours le cannabis malgré deux douches. Cette odeur est un des détails qui m'ont poussée à fuir plus tôt que prévu (quittant prématurément les tagliatelles carbo de Benjamin T.T), l'autre étant la présence de vodka au cannabis (ou chose approchante). Je crois que je ne comprendrai jamais plus ce genre d'amusement, je dois avoir acquis le plugin "déteste l'alcool et le shit"... Vais peut-être devoir nettoyer mon disque dur sous peu, moi, je crois que j'ai des données inutiles en train de saturer ma RAM (et la ROM, j'vous en parle pas, le pire c'est que celle-là je n'y ai pas accès >.<). Bref... c'était quand même très sympa et j'ai pris beaucoup de plaisir à discuter avec mes camarades de classe^^

A part ça, belle découverte avec le premier The Crow, j'enchaîne le deuxième ce week-end. Mon animé du moment c'est Elfen Lied que je voulais voir depuis longtemps, j'aime beaucoup, le manga du moment est toujours Priest que j'ADORE et que je savoure. Au niveau livre, je relis Lestat d'Anne Rice en parallèle avec le premier volume de La Dimension Fantastique, un recueil de nouvelles fantastiques avec du plutôt bon et du franchement nul.

Musique du moment : l'opening d'Elfen Lied et Du riechst so gut de Rammstein.

*part en chantant à tue-tête*